Avis de sécurité


CERTFR-2016-AVI-343 Publié le 12 octobre 2016

De multiples vulnérabilités ont été corrigées dans les produits Cisco. Certaines d'entre elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance, une atteinte à l'intégrité des données et une atteinte à la confidentialité des données.

CERTFR-2016-AVI-342 Publié le 12 octobre 2016

De multiples vulnérabilités ont été corrigées dans Ghostscript. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire et une atteinte à la confidentialité des données.

CERTFR-2016-AVI-341 Publié le 12 octobre 2016

De multiples vulnérabilités ont été corrigées dans le smartphone P9 Huawei. Elles permettent à un attaquant de provoquer un déni de service et une élévation de privilèges.

CERTFR-2016-AVI-340 Publié le 12 octobre 2016

De multiples vulnérabilités ont été corrigées dans Microsoft Windows. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance, une atteinte à la confidentialité des données et une élévation de privilèges.

CERTFR-2016-AVI-339 Publié le 12 octobre 2016

Une vulnérabilité a été corrigée dans Microsoft Office. Elle permet à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance.

CERTFR-2016-AVI-338 Publié le 12 octobre 2016

De multiples vulnérabilités ont été corrigées dans Microsoft Edge. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance.

CERTFR-2016-AVI-336 Publié le 11 octobre 2016

De multiples vulnérabilités ont été corrigées dans Adobe Flash Player. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance et un contournement de la politique de sécurité.

CERTFR-2016-AVI-335 Publié le 11 octobre 2016

Une vulnérabilité a été corrigée dans Quagga. Elle permet à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance et un déni de service à distance.

CERTFR-2016-AVI-334 Publié le 11 octobre 2016

De multiples vulnérabilités ont été corrigées dans le noyau Linux d'Ubuntu. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire, un déni de service à distance et un contournement de la politique de sécurité.