CERTFR-2022-ALE-006Publié le 3 juin 2022Cloturée le 7 octobre 2022
[Mise à jour du 03 juin 2022 à 19h52] Atlassian a publié des correctifs.
Une vulnérabilité a été découverte dans Atlassian Confluence. Elle permet à un attaquant non authentifié de provoquer une exécution de code arbitraire à distance.
De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans GitLab. Certaines d'entre elles permettent à un attaquant de provoquer un contournement de la politique de sécurité, une atteinte à l'intégrité des données et une atteinte à la confidentialité des données.
De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans le noyau Linux d'Ubuntu. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire, un déni de service et un contournement de la politique de sécurité.
De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans le noyau Linux de Red Hat. Certaines d'entre elles permettent à un attaquant de provoquer un contournement de la politique de sécurité, une atteinte à l'intégrité des données et une atteinte à la confidentialité des données.
De multiples vulnérabilités ont été corrigées dans Microsoft Edge. Elles permettent à un attaquant de provoquer un problème de sécurité non spécifié par l'éditeur, une élévation de privilèges et une usurpation d'identité.
De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans Google Chrome. Elles permettent à un attaquant de provoquer un problème de sécurité non spécifié par l'éditeur.
De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans Mozilla Thunderbird. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance, un contournement de la politique de sécurité et une atteinte à la confidentialité des données.
De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans Mozilla Firefox. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance, un contournement de la politique de sécurité et une atteinte à la confidentialité des données.
De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans IBM QRadar. Certaines d'entre elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance, un déni de service à distance et un contournement de la politique de sécurité.