Une vulnérabilité dans IBM WebSphere ext exploitable par un utilisateur malveillant pour réaliser de l'injection de code indirecte.
Une vulnérabilité permet de provoquer un déni de service à distance sur les Netgear WNDAP330.
Une vulnérabilité dans Google Chrome permet à un utilisateur malveillant de contourner la politique de sécurité.
Des vulnérabilités dans Wordpress permettent à une personne malintentionnée d'effectuer une injection de code indirecte et/ou de contourner la politique de sécurité.
Deux vulnérabilités dans McAfee IntruShield NSM (Network Security Manager) permettent à un utilisateur malveillant de réaliser du vol de session ou de l'injection de code indirecte.
De multiples vulnérabilités dans Apple Safari permettent entre autres l'exécution de code arbitraire à distance.
Une vulnérabilité de CUPS permet à une personne malintentionnée d'effectuer des attaques de type injection de code indirecte.
Une vulnérabilité dans le serveur d'enregistrement de licences Microsoft permet l'exécution de code arbitraire à distance.
Une vulnérabilité dans Microsoft Office Word permet à une personne malintentionnée d'exécuter du code arbitraire à distance.
Plusieurs vulnérabilités du noyau de Microsoft Windows permettent à un utilisateur malveillant d'élever ses privilèges ou d'exécuter du code arbitraire à distance.