Une vulnérabilité présente dans le noyau Linux permet à un utilisateur distant de provoquer un déni de service et potentiellement d'exécuter du code arbitraire.
Une vulnérabilité dans phpMyAdmin permet à une personne malintentionnée d'exécuter du code arbitraire à distance.
Une vulnérabilité dans IBM AIX permet à une personne malintentionnée d'élever ses privilèges sur le système vulnérable.
Une vulnérabilité dans le module mod_perl pour Apache permet à une personne distante malintentionnée de réaliser une injection de code indirecte (cross site scripting).
De multiples vulnérabilités ont été corrigées dans le microgiciel IBM BladeCenter Advanced Management Module.
Une vulnérabilité présente dans Apache Tomcat mod_jk permet à un utilisateur distant de porter atteinte à la confidentialité de certaines données.
Plusieurs vulnérabilités affectent Microsoft Internet Explorer et permettent à une personne malintentionnée d'exécuter du code arbitraire à distance.
Des vulnérabilités ont été identifiées dans les services HTTP Windows. L'exploitation de ces dernières à distance permet d'exécuter du code arbitraire sur le système vulnérable.
Plusieurs vulnérabilités ont été identifiées dans le système d'exploitation Microsoft Windows. Leur exploitation peut conduire à une élévation de privilèges.
Une vulnérabilité de Microsoft Windows permet à un individu malveillant d'élever ses privilèges.