Une vulnérabilité dans Nagios permet à un utilisateur malveillant de réaliser de l'injection de code indirecte.
Une vulnérabilité affectant IBM Lotus Sametime permet à un individu malveillant une exécution de code arbitraire à distance.
Une vulnérabilité affectant HP-UX permet à une personne malveillante de contourner la politique de sécurité.
Plusieurs vulnérabilités présentes dans Cisco SCE permettent à un utilisateur distant de provoquer un déni de service.
Une vulnérabilité a été identifiée dans un script CGI associé à l'interface Web d'Alcatel-Lucent OmniPCX Office. Celle-ci peut être exploitée par une personne distante pour exécuter des commandes arbitraires sur le système vulnérable.
Plusieurs vulnérabilités affectent IBM AIX et permettent, en particulier, à un utilisateur malveillant d'exécuter du code arbitraire à distance.
Trois vulnérabilités de Trillian permettent l'exécution de code arbitraire à distance.
Deux vulnérabilités affectant Lotus Domino Web Server permettent à une personne malintentionnée d'effectuer une attaque de type injection de code indirecte (cross-site scripting) ou de réaliser un déni de service à distance.
Deux vulnérabilités dans CA ARCserve Backup permettent à une personne malintentionnée distante de réaliser un déni de service ou d'exécuter du code arbitraire.
Une vulnérabilité du logiciel Emacs permet à un utilisateur malveillant d'exécuter du code arbitraire à distance.